Mais comment ça's 'passe dans’c’jeu ?
Et bien voilà, on est à la tête de 4 armées (barbares, squelettes, nains et orcs) et on doit les envoyer successivement au casse pipe en 4 batailles qui représentent une manche. Celui qui remporte les 1ère et 4ème batailles gagne 2 points, et celui qui remporte les 2ème et 3ème batailles, gagne 1 point. Au bout d’un certain nombre de manches, le joueur arrivant à totaliser 8 points ou plus est déclaré vainqueur.
Chaque manche se décompose en plusieurs phases :
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Le joueur incarnant le sorcier donne à chaque joueur deux cartes bouclier / recrutement et deux cartes de désertion (à 4 et 5 joueurs).
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Le sorcier pose ensuite les cartes armées et mercenaires (cartes bonus qui représentent des renforts) sur plusieurs tas (9 à 4 joueurs par exemple). Pendant cette phase, les autres joueurs ainsi que le sorcier ont la possibilité de poser des cartes désertion sur certains tas, annulant ainsi la carte posée juste en dessous.
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Dès que le sorcier pose la carte « début des recrutements », tous les joueurs ont la possibilité de poser une carte bouclier sur un ou plusieurs tas.
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Quand tout a été posé, le sorcier trie les tas de cartes, un par un, en prenant soin de défausser les cartes armée ou mercenaires se trouvant sous les cartes désertion. Il donne les armées aux joueurs dont le bouclier a été posé en premier sur tel ou tel tas.
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Les joueurs ayant deux géants ou plus dans leurs armées doivent s’en séparer car ces derniers ont tendance à se taper de dessus avant de taper sur les autres.
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Le sorcier appelle les espions (1.2.3.4) qui ont la possibilité de faucher une carte à un autre joueur si tant est qu’il la possède dans sa main. Le sorcier choisit également un champion parmi les autres joueurs afin de marquer autant de point que lui dans la manche en cours.
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Le sorcier nomme les participants de la première bataille (nains, orcs, …). Tous les joueurs posent alors leurs cartes correspondant au peuple appelé et peuvent aussi y ajouter des renforts (mercenaires, machine de guerre gobeline, …). On comte le total des points. Celui qui en a le plus remporte la bataille. Les batailles suivantes se déroulent de la même façon.
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Vendredi dernier, nous étions 5 à jouer (Caroline, Fil, Alexandre, Brigitte et moi). Très vite, Fil s’est mis à taper le plus fort ! Mais Brigitte, cachant bien son jeu, faisait beaucoup plus de dégâts ; elle a d’ailleurs fini par gagner la partie.
Même si le sorcier a l’avantage de choisir un champion afin de compenser son manque d’attention quand il pose les cartes pour les phases de désertion et de recrutement, il est aussi ardu de bien choisir cet « allié » car on ne mémorise par tout ce qui passe. C’est